Le design est dans la lignée des ultra légers minimalistes, avec flex rocker, base annulaire, grands tourillons et anneau supérieur simple, initiée au début des années 2000 par les américains Greg Babcock, Dan Gray, Mel Bartel. Je crois que j'avais été le premier en France à en réaliser un du même acabit, un 400 en bois, en 2005, puis Serge Veillard en avait construit un tout en carbone en 2007.
L'instrument de Guillaume est lui aussi réalisé tout en carbone et mousse. La monture entière, sans le primaire pèse 9 kg. On peut le prendre et le déplacer tout monté, sans effort.
Guillaume n'avait jamais vu un dobson "en vrai", sauf sur des photos, et pourtant, il a réussi une merveille, tant dans la conception, la qualité de la structure, que dans les finitions. Tout est bien rigide, il n'y a pas de flexions, pas de vibrations. Et il a réussi a obtenir un état de surface sur le carbone que l'on ne trouve que sur les réalisations très professionnelles.
Entre ses multiples activités et quelques arrêts, il lui a fallut près de 7 ans pour le réaliser. Mais cela valait le coup!
Guillaume, tout fier, et il a bien raison!
Le 400 devant la Dobson Factory
Avec une jupe made in Dobson Factory
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